HISTOIRE DE MECS ET DE BAISE        

 

He Mec !

Cet espace t'est réservé …  Si tu as un bon  récit d'un bon plan baise entre motards ou avec des motards, adresse le moi afin de le publier...  Tu peux également m'adresser des photos pour enrichir ton récit...

Récit 1                 Récit 5

Récit 2                 Récit 6

Récit 3

Récit 4

Je rentrais de mon boulot en bus

Mon Récit baise

 

 

 

                                                                                             

                

 

 

 

 

De : Jean                           zzr@free.fr                                                                   img5.gif

Ca faisait 2 heures que je roulais sur l'autoroute et bien une heure que j'avais envie de pisser ! Je me suis enfin décidé à m'arrêter sur une aire pour soulager ma vessie. Je me suis garé le plus près possible des toilettes, j'ai remarqué 2 poids lourds au fond, des rideaux tirés sur les vitres et une énorme moto mais là si je me vidais pas, ça allait mal finir. Je suis rentré presque en courant dans les chiottes pour hommes. Y avait un mec habillé en cuir en train de pisser dans un urinoir. J'ai pris une place. J'ai soupiré d'aise quand j'ai commencé à pisser, un plaisir à traverser mon corps.
- Ca fait du bien hein ??

C'était le mec d'à côté que me parlait.
- Ha oui ça fait une plombe que j'avais envie mais...
J'ai tourné la tête pour lui parler et ça m'a coupé la parole. Le mec s'était reculé de l'urinoir et me matait en paluchant sa belle queue.
- je repoussais sans cesse, ai-je fini.
Le silence s'est installé, on entendait juste les voitures qui passaient sur l'autoroute.
Le mec continuait à se palucher, la bite à la main, sortie tout droit de son fut en cuir. Belle bite d'ailleurs. Dès que j'ai eu fini de pisser, ma queue s'est mise à gonflée aussi. Je l'ai montré au mec.

Il a regardé une chiotte qui fermait à clef puis est entré dedans. Je l'ai suivi. Il était là à se palucher comme un malade. Avant que j'ai eu le temps de dire ouf, il avait badigeonné ma bite de gel, enfilé un préso, baissé son froc et s'était empalé dessus.
Le mec devait avoir l'habitude pour aller aussi vite, il devait s'entraîner !! Je me suis mis à le limer comme un dingue. Il en pouvait plus les jambes écartées au dessus des chiottes. Je lui ai mis un dernier coup de queue méga violent et j'ai rempli le préso à grandes giclées de foutre. Des mecs sont rentrés à ce moment là dans les chiottes en discutant, certainement les routiers dont j'avais vu les camions. Je suis resté dans le mec !! Il avait l'air d'accord et je l'ai branlé. En quelques mouvements, il avait giclé sur le mur.
On a attendant que les mecs soient partis pour sortir. Quand je suis monté en voiture, j'ai vu que les mecs se marraient ! Tu parles ! Une voiture, une moto et personne de visible dans les chiottes !                    
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De : Michel                          rubmax@caramail.com                                                          img3.gif

Puisqu'un motard tout cuir devant moi me ferais gicler sans qu'on me touche !

Alors me rouler dessus... Je te dis pas !
Dans ce cas la, plus besoin de bondage. Par contre s'il y a uro, je suis au nirvana.

J'avais rencontré à Paris il y a quelques années, un motard super avec lequel j'ai eu pas mal de relations.
Bizarrement il fréquentait un bar sm "le keller" et ne draguait jamais sur place. Il se contentait de mater les cuirs ! Aussi quand je l'ai retrouvé sous la gare d'Austerlitz, tout seul assis sur sa bécane de coté, j'ai pas pu résister.
J'avais un peu les foins qu'il me frappe, mais j'ai quand même léché ses bottes. Le mec s'est allongé sur sa machine est j'ai léché tout son cuir. Plus après on est reparti chacun sur nos cubes, et on s'est arrêtés en dehors du monde loin sur le quai de Seine. Et là on s'est empoignés, on s'est même battus, je m'en souviens, c'était incroyable j'aurais voulu rentrer dans son cuir… Je sais que j'ai jouis sans même ouvrir mon fut. Puis il m'a laissé planter la comme un con.

J'ai du le revoir une dizaine de fois toujours au même endroit, et toujours avec le même scénario.
On s'est même roulé par terre tous les 2 en cuir (toujours) je n'ai jamais vu sa bite, pourtant je la sentais énorme.



Avant de quitter Paris définitivement, je suis monté derrière lui sur sa bécane et direction l'autoroute A4 en pleine vitesse je l'ai fait jouir dans sa combine je le savais car il a été obligé de ralentir à mort. Moi c'était déjà fait...
Tu vois le tableau ! Je ne l'ai jamais revu. Je pense souvent à lui. Il ne m'a jamais dis plus de quelques mots.                                          
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De : X                               Mec voulant rester Anonyme. c'est son choix                      img4.gif

Je peux te raconter mon premier plan avec un mâle motard cuir. Plan soft mais brûlant tellement le keum était chaud. Histoire vécue, avec en plus des petits délires ajoutés…

Je n'étais pas encore un motard, mais un simple automobiliste. Mais déjà, la vue d'un keum bardé de cuir et cambré sur une sportive me filait une gaule terrible. J'étais en Ardèche et j'étais sur une petite route qui m'emmenait vers la maison des vacances. On était début juin, il devait être environ 18h. Au loin, je repère un motard isolé, seul sur le côté de la route et visiblement en panne. Je stoppe à son niveau et lui demande s'il a besoin d'aide. Le motard est hyper canon: 1m80, cheveux rasés, gaulé comme un dieu, gueule de keum viril, barbe de 3 jours, un sourire à tomber par terre, et surtout, une combi cuir Nankaï  qui le moulait à la perfection. Son cuir était ouvert jusqu'à son bas-ventre et laissait montrer un torse imberbe, musclé et bronzé. Je peux te dire que je triquais déjà comme un âne, rien qu'à l'idée de pouvoir parler à mon premier Mâle Motard Cuir. Il me répond avec un super sourire, que c'est super cool qu'un automobiliste s'arrête pour un motard. Moi, je lui dis que je trouve les motards hyper fun. Le dialogue s'installe. Je lui avoue que je ne suis pas super calé niveau mécanique, mais que si je peux l'emmener quelque part afin qu'il puisse trouver de l'aide, y'a pas de problème. Il est ok et me demande si je peux le déposer à une vingtaine de kms, chez des potes a lui. Oh putain que oui! Je le mate attacher sa moto (une superbe GSXR1100), et je vois son petit cul de cuir se tendre lorsqu'il se baisse pour mettre le U. Il se relève et il transpire sous son cuir. Forcement, je lui demande s'il n'a pas trop chaud la dessous:

Ca chauffe pas trop sous le cuir ?

Ouais, un peu, mais j'ai l'habitude, je suis toujours en cuir sur ma bécane, j'aime ça.
C'est cool, t'as raison, en plus ta combi est d'enfer. Ca m'a toujours impressionné les motards en cuir…
Ah oui, et pourquoi ?

Bah, je trouve ça hyper beau, hyper viril.
Il sourit légèrement et me répond que je n'ai pas tort.


Il monte dans ma voiture, à côté de moi. Je suis tremblant. L'odeur de son cuir chaud envahit l'habitacle et m'excite à mort. Le dialogue se poursuit, je me lance et lui demande sur le ton de la plaisanterie:
Dis moi, tu dois pas avoir trop de problèmes pour te faire des meufs, si t'es toujours looké comme ça, ça doit attirer un max!!!

Tu sais, moi je ne suis pas trop branché meufs ! , Mais pour attirer, oui, ça marche à fond.
Ne me dis pas que t'es homo ! Ca serait trop beau ! Un Super motard cuir, homo… tout ce que j'aime…
Je vois que je te fais de l'effet.
J'appelle plus ça de l'effet…

Il ouvre son cuir encore un peu plus bas, et je distingue le haut de son pubis. Il pose sa main au creux de sa cuisse, et l'autre sur la mienne.

J'ai comme une envie de m'arrêter sur le bord de la route, histoire de voir ce que tu caches sous ton cuir.
Ok, si tu veux, moi en tous cas, tu me branches bien, j'aime les mecs qui flashent sur les motards, et moi, j'ai comme une envie de me faire tailler une bonne pipe par un mec qui ne demande que ça…

En moins de 30 secondes, je stoppe mon véhicule dans un coin isolé, je coupe le contact, et plonge mon nez dans son entrejambes. Je respire du plus profond que je peux l'odeur de son cuir, et commence à lécher son pacson de cuir. Il écarte ses cuisses, et je sens bien le relief de sa combine qui couvre une bonne grosse pine de motard, bien raide, prête à se faire pomper.

Je remonte ma bouche sur son bas-ventre, et lèche comme un malade ses abdos musclés; je passe une de mes mains autour de sa taille, sous son cuir, et pose ma bouche sur ses pecs saillants. Je lui aspire sa sueur, lui mordille ses tétons, il aime ça, il m'offre son coup, je le prends et pose ma langue chaude dessus. Il me prend ma tête et me roule une longue série de pelles. Sa langue envahit toute ma bouche, il me salive dans la gueule, et commence à me dégrafer mon 501 pour y dégager ma teub. Il me branle lentement. Le moindre de ses mouvements fait crisser son cuir. Il est bouillant dessous. Je me jette sur son pubis et respire cette odeur forte de mâle et de cuir. J'aperçois le bout de son gland, bien dégagé, surplombant un pénis d'enfer, bien raide et large. Je prends sa pine de cuir dans ma bouche et mordille doucement le sexe de ce mâle cuir. Plus je m'attarde sur sa queue de cuir, plus je la sens gonfler. Je libère complètement sa trique; Il est avachi sur le siège, cuisses écartées, sa combine ouverte jusqu'au bas de ses couilles, en totale érection. Je passe mes mains sous ses cuisses pour avoir le contact de sa combine, et enfourne ce long sexe chaud de motard cuir excité. Je m'applique et le suce du mieux que je peux. Je réalise un phantasme: pomper un super mâle, canon, motard en combi cuir. Je veux que ça dure un max., je veux l'exciter à fond. Sa queue a super bon goût et commence à sécréter les premières gouttes du liquide séminal. Ca a pour effet de lubrifier sa tige. Je calme le jeu, je ne veux pas qu'il crache sa purée maintenant. Je veux le sentir encore longtemps bien raide dans ma bouche. Je l'entends chuchoter:
Putain que c'est bon…tu suces comme un Dieu !


Je retire ma bouche, et prends le relais en le masturbant tout en douceur, en exerçant des petites pressions sur sa tige.
Elle a du se faire pomper souvent dis moi ?
Ouais! ma bite a du succès…
T'as du aussi en bourrer des culs !


Ouais, un bon paquet, j'ai la réputation d'être un queutard. J'aime la baise, je suis né pour baiser. Faut que je gicle au moins 2 fois par jour, par n'importe quel moyen, quitte à me taper une bonne grosse branle avec mon cuir. Mais ce que je préfère par dessus tout, c'est de me faire pomper par un keum assoiffé de pines de motards cuir. Et là, mec, t'es pas loin de me faire cracher mon foutre.


Avec tes potes, tu dois baiser mortel non ?
Non, ils sont hétéros et ne savent pas que je suis un motard nikeur de mâles. Dur pour mes vacances ! Je dois me palucher pour calmer mon excitation. D'ailleurs, il m'arrive certaines fois d'emprunter discrètement le cuir d'un pote que je rêve de sauter pour me branler dessus. J'éjacule sur son cuir et étale mon sperme dessus et dessous pour "graisser sa combine". Le pied ! Quand je le vois après porter son cuir, ça m'excite à mort de savoir qu'il porte une combine sur laquelle mon foutre est venu s'imprégner qu'il a mon jus entre ses cuisses. Pour en revenir sur le côté baise, heureusement qu'on s'est rencontré, c'est trop cool, ça fait 5 jours que j'attends un moment comme ça, j'ai du bol ! Vas-y ! Pompe moi, aspire moi, fait moi jouir.

J'exécute ses désirs et le reprends à pleine bouche. Sa pine est toujours aussi raide, aussi belle. Elle est visqueuse. Il donne des petits coups de reins, comme s'il voulait me pénétrer la gueule. Je le laisse faire et c'est lui qui donne la mesure. Il s'excite sur ma bouche, il gémit de plus en plus. Je m'attarde maintenant sur ses burnes; elles sont douces et pleines, bien chaudes. Je les gobe, les lèche, en remontant de temps en temps sur sa matraque. Ma salive coule le long de ses cuisses, à l'intérieur de son cuir. Il colle sa teub sur ma joue et la nettoie sur ma gueule. Je l'enfourne à nouveau et m'arrête au plus profond de lui. J'aspire un maximum et je sens la bite de mon motard gonfler: Il est prêt a expulser sa purée. Je me retire vite fais et dirige sa pine sur son torse.

 

Putain, il gicle d'une force !!! 3 jets puissants, épais ! Il a des soubresaut et crache à nouveau 2 jets. Son foutre vient s'éclater sur sa gueule, sur son coup, sur son torse. Les derniers jets finissent sur son bas ventre. Je m'empresse d'étaler son sperme sur tout son corps. Le jus étalé sur mon motard lui donne un aspect luisant. Il est vidé et il veut que je me finisse sur lui. On passe sur la banquette arrière, mon mâle de cuir est allongé, je suis sur lui, ma teub sortie de mon 501. Sa pine se raidit à nouveau et je la sens buter contre mon cul. Ca m'excite. D'une main je me branle à fond, et de l'autre je lui caresse son torse luisant, je descends ma main entre ses cuisses chaudes, sous son cuir. Je finis par cracher ma semence de mâle sur son torse, dans un hurlement de plaisir total. Je me vide complètement. Mon foutre vient se mélanger au sien. Je l'étale également sur ses pecs, sur son bas ventre. Il est complètement enduit de sperme et visiblement il aime ça. On termine notre jouissance en faisant une petite sieste, je suis étalé  sur lui, son corps de mâle sent le foutre et le cuir, et on bande tous les deux.



Ensuite, il faut reprendre nos esprit. Je reprends le volant, il est à côté de moi, et on roule jusqu'à notre destination finale. Pendant le trajet, il a sorti sa bite pour se branler, histoire que je garde un bon souvenir de lui…

T'inquiètes pas, dis-toi que si je te croise à nouveau, tu auras en face de toi, non plus un automobiliste, mais un mâle motard cuir. Ca va triker et juter balaise.

Je rêve de la multiplication de mâles motards cuir queutards, ceux qui aiment kiffer en cuir moto, ceux qui aiment jouir en cuir. T'en fais partie mek. Je te souhaite de bander le plus souvent possible sous ton cuir de motard. A bientôt, et j'espère que ta teub aura craché tout son foutre dans ton cuir de mâle motard.                                                                        Haut de page

de Fred                                                                                                                                       img6.gif

 

Il y a même pas un an, j admirais une sportive dans la rue, moi en jeans basket

Donc je regardais la moto quand le pilote arrive derriere moi et me dit : tu veux faire un petit tour ? je n allais pas dire non, et il me tend un casque, on enfourche sa moto et me dit qu'il préfère que je me tienneà lui.

Alors collé à lui, nous partons sur la route et au bout d un bon moment, minimum 1/2 heure il prend un petit chemin, et arrête la moto.On descends et enlève les casques, et de suite il me dit donne ton cul que je t encule sinon je te laisse là, et repart sans toi. Je lui dis alors repart, tu n aura pas mon cul, et de suite il me tombe dessus, arrive à descendre mon froque, sors sa queue et sans ménagement, m encule, bien entendu sans capote, je le sentais aller et venir dans mon cul, et je commençais moi aussi a triquer. Il le vit et me dit tu vois que tu veux bien, et c est vraiment bon de bz sans capote, je commençais a gémir et je voulu qui crache tout son foutre dans mon cul alors c est moi qui continua a faire des va et viens sur sa bite pas mal de temps

 

.Il se retira de temps à autre pour éviter de jouir trop rapidement. Pour moi aussi c était un peu de repos et il reprenait son rythme, et à un moment il accéléra et déchargea dans mon cul, c était une premiere pour moi, moi qui avait baisé sans capote plus jeune, et jamais fait baisé, mais il ne sortit pas de mes entrailles et je sentis qu il débandait mais qu au bout d un moment sa bite regonflait et entrepris de me limer encore.Très longtemps avant de décharger à nouveau, et là, il ressortit, et me dit bon trou, j ai pris un de ces pieds, et vit que moi j étais encore raide de la queue, alors il me dit enfouche ma moto je vais te pomper dessus, sitôt dit sitôt fait, et il se mit à me pomper à fond pour que je décharge dans sa gueule, ce que je fîs assez vite.

On pris un instant de repos et me dit si ça te dit la semaine prochaine j ai des potes allemands qui viennent et je dois trouve un vide couilles, si tu veux on t embarque dans nos ébats?

suite...                                                         img7.gif

Comme je lui avait donné mon téléphone, la semaine suivant il m'appella :

Il me dit que pour le moment il n'y avait que deux de ses potes et que les autres allaient arriver dans quelques jours, si tu veux on passe te chercher

Jétais bien entendu d accord, et une heure après j étais sur sa bécane, derrière lui, et ses potes le suivaient, il pris une petite route puis un petit chemin et arrêta sa bécane. Il me dit de descendre, ce que je fais, et enlève le casque. Lui sort sa bite, et me dit pompe là elle veux pour le moment ta bouche. Ses mains gantées me tenaient la tête et me faisaient faire les va et vient sur sa queue, les autres voyant cela descendirent de leur moto, et un se mit derrière moi et se branlait sa queue sur mon fut. Le troisième avait sorti sa bite et se branlait et embrassait mon motard. Au bout d un moment, il s arrêta de se branler et dit je veux le niker, et j'eu mon froc au cheville et sa bite dans mon cul . Il me bourra un bon moment avant de me remplir de son sperme, et ressorti. Le second motard ne tarda pas a me niker et moi je pompais toujours mon motard. Il dit, moi aussi je veux le niker. Tu me laisse son cul et donne lui ta bite, c est un super pompeur, alors j'eu la bite de mon motard dans le cul, et la queue de mon enculeur dans la bouche. Je me faisais vraiment ramoner. La bite encore bien raide, ce fut mon premier enculeur qui me pompa et je jouis dans sa gueule, quel pied j ai pris, et ce ne fut pas le seul moment de plaisir que j eu dans la soirée, ils ont remis ça deux autres fois avant de me ramener chez moi et me dirent à la fin de semaine il y en aura trois autres, ça te dit.

Bien sur....                                                                       Haut de page

                                                                     De : pompeur75@9online.fr  

     

En sortant de la Fnac, j'aperçois un motard assis sur sa bécane les jambes écartées. j'ai tout de suite remarqué qu'il avait un gros pacson provoc dans son jeans et fier de l'exhiber. Mon regard s'est aussitôt attardé sur le mec et rapidement il s'est rendu compte que je le matais. La tentation était trop forte, j'avais tellement envie de m'occuper de  sa teub que je me suis avancé vers lui pour lui demander une cigarette

Tout en fumant notre clope, je profitais de ces quelques instants pour porter mon regard sur son paquet provocant. Sa braguette était gonflée et bien fournie comme je les aime. Au bout d'un moment, il s'en rend compte, et se palpe son gros paquet. Voyant qu'on était excité tous les deux, il me propose de m'emmener sur sa moto dans un endroit plus discret, en vue d'un plan direct.

 

Assis derrière sa moto, je me suis hasardé à palper sa teub déjà bien raide à travers son jeans. Ca devait bien l'exciter et lui plaire vu la trique qu'il avait. Après avoir parcouru quelques rues dans Paris, il s'est  engagé dans un parking sous terrain. Il est descendu au dernier sous-sol dans un coin plutôt sombre et à garer sa moto. Il est resté assis sur sa bécane et  m'a fait signe de descendre,  d'enlever mon casque et de me  placer à genou à coté de lui.

J'ai  commencé par lui lécher sa bosse sous son jeans tout en palpant des deux mains l'énorme paquet qui a réagit aussitôt. Il a dégrafé son fut et en a sorti tout son attirail prêt à l'emploi. Il avait une tige épaisse munie d'un gros gland et la hampe était droite et veinée d'où pendaient deux grosses couilles glabres et pleines. Comme j'en crevais d'envie, je me suis jeté sur son engin que j'ai pris jusqu'à la gorge. Il m'a tiré la tête en arrière par les cheveux et m'a ordonné de lui lécher ses burnes tout en me donnant des coups de bites sur ma gueule. Je les ai léchées à pleine langue puis gober. J'ai bouffé ses roustons comme un chien affamé pendant que son mastard me frappait la gueule.

Il a prit sa teub et me l'a fourré dans la gorge et a commencé à me gaver jusqu'à la glotte pendant plusieurs minutes. Puis m'a fait sucer son gland turgescent que j'ai tété goulûment et je me suis empalé sur son gourdin déjà bien gonflé et m'a dit : Vas-y mec! Suce mon piston à fond que j'me vidange les couilles! Je l'ai englouti direct au fond de ma gorge et tout en gémissant de plaisir il murmura : Ouais! Pompe moi à fond! Tout en continuant de le pomper avidement il commença à me pistonner la gueule de sa grosse teub en me bloquant la tête avec ses deux mains. Son gland me raclait le fond de ma gorge et j'aimais çà! Très excité il a accéléré la cadence en me baisant la gueule et dans un râle de male en rut il a  déchargé des jets puissants et abondants de jus. Il m'a largué toute sa purée chaude et épaisse au fond de la gorge. Il est reparti purgé et satisfait sur sa moto. C'est l'essentiel d'un trip cool que je renouvellerai bien!                                                                                       Haut de page

                                                                                                  

de Fred

 

Je rentrais de mon boulot en bus, comme un jour sur deux. Ce jour là pas de bol ! Très fatigué, je me suis mis au fond du bus, et ne me suis pas assoupit, mais bien endormit. Dans mon rêve je tombais de la moto, en réalité c' était le chauffeur, que me réveillait.

C est le terminus.

Je lui dis, pas grave je vais faire le chemin inverse, vous partez dans combien de temps ?

Il me dit : «Je rentre au dépôt, ma journée est finie. Mais renchéri, si tu veux, je te déposerais après avoir rentré le bus»

Je lui dis OK, et nous voilà parti. Arrivée à l’entrée du dépôt, il me dit : «je te laisse là car les personnes étrangères au service ne peuvent rentrer ; mais je te reprends en sortant».

 Ok, alors je t'attends.                                img2.gif

J’ai attendu un  moment allongé sur le banc d’à coté. Je regardais le ciel bleu du début du printemps, quand une moto s'arrêta à mon niveau. Je t’emmène ! C’était le chauffeur du bus qui me tendit un casque que je mis et monta derrière lui. Il me dit tu me tiens par la taille, je préfère. Et nous voilà parti. Je ne lui avais même pas dit ou j’habitais, mais en roulant il me tapotait la cuisse, et au premier feu rouge avant de repartir, il poussa mes mains sur son sexe qui était d’une belle grosseur. Ma réaction fut instantané,  ma queue se raidit et mes mains malaxaient son sexe. On s'était comprit.

Au deuxième feu, il me dit : « tu as quelques chose à faire cette après midi, sinon je t'embarque» ? Je lui réponds : «embarque», et là nous voilà bien parti. Je ne savais pas où, mais sûr qu’on y allait.

Une demi-heure de route, et nous voilà dans un  mas. Il gara la moto. Nous descendîmes et aussitôt les casques enlevés, il me roula une pèle à en perdre le souffle, tout en me malaxant mes fesses.

Il me mit à poil et sorti simplement sa bite de son fut, et me dit : «pompe avant que je t encule». Je fus surprit ; alors il me prit ma tête, la dirigea vers sa queue que je pompa avidement. C’était divin, pour lui comme pour moi. Au bout d un moment, il me releva, me roula encore une pèle avant de me casser en deux la tête sur la selle de la moto, me mit à mes pieds, et me bouffa le cul longuement et avec application. Pour mon plaisir je gémissais comme une femelle qui prend son pied et au bout d un moment il n'en pouvait plus, se releva .Et comme il avait mis trois doigt dans mon cul, il me dit: «Je vais bien te bourrer, et je suis sur que tu en redemanderas».

Aussitôt, j’eu sa bite en moi d'un coup sec il commença un limage d’enfer. Mais putain, je ne sais combien de temps ça à durer, mais quel pied ! Il ressortit plusieurs fois pour y renter aussitôt, et à chaque fois je gémissais. Il me dit : «ça va» ? Je réponds quel pied ! Il me dit, tu n’as pas encore tout vu, et il continua à me limer,  à rentrer et à ressortir. Mais comme tout à une fin, il me dit : J’en peux plus, je vais jouir et sitôt dit sitôt fait. J’eu plusieurs jets de sa semence au fond de mon trou. Il resta un moment dedans avant de ressortir, de prendre mes vêtements et m’emmena dans la maison.

Il me montra la chambre, la salle de bain, la douche, et me dit : «vas y je te rejoins ». Donc je pris ma douche, mais ne fut pas longtemps seul. Il me demanda de lui laver le corps et ne tarda pas de rebander. Il me lava à son tour et nous deux plein de savon il me retourna et m’encula de nouveau. Ce fut aussi long que la première fois. Il ne jouis pas, se retira et nous rinça. Il appuya sur ma tête pour que je me mette à genoux pour le pomper, et il me jouit dans la bouche. Il me releva, se mit à genoux et me pompa jusqu à ma jouissance. Ensuite, il me sécha, lui aussi, me porta à son lit, et me dit : dors,  je vais casser la croûte et revient te voir.

Je me suis écroulé dans un profond sommeil et fut réveillé par le pilonnage de mon fion. Il était revenu, et il m'enculait de nouveau. Il me dit : « laisse toi faire, tu me donne du plaisir, et tu en prends aussi » Et c est vrai que j avais du plaisir, vu que ma queue était de nouveau au garde à vous. Je ne sais pas combien de temps il me lima mais après avoir jouis il me dit : «tu reste ici pour la nuit, va au salon, je vais préparer le repas».

15 minutes plus tard j'entendis une moto. Il me dit : « ça c'est mon frère »

Son frère rentra et il lui dit : Va au salon, j'ai une surprise pour toi.

Je vis entrer un mec en cuir, fut cuir à lacets perf tiags, bout pointues, talons bizotés, le style de mec avec qui je voudrais passer toutes mes soirées. J’entendis mais je n’étais pas le seul. Vas y c’est une super lope comme tu les aimes et sitôt dit, il s’est ramené  vers moi pour que je lui bouffe sa queue à travers le fut en cuir. Sous mes coup de langue sa bite durcit et il a du la sortir, tellement quel était serré  dans son fut, alors je pompa la queue et lui en profita pour malaxer le fion que je lui offrais, il dit un très beau cul, et l' autre rajoute et il se fait démonter comme il faut, le pied, mais je te laisse découvrir n en pouvant plus, il me dit enlève ton jeans que je te baise, je n en peu plus, alors sans m arrêté de pomper, j enlevais mon fut et sitôt fait il me retourna et m encula sans préparatif, je cris un bon coup au passage de la queue, puis après je gémissais de plaisir.

Il me lima un bon moment avant de se vider en moi, et continua à limer, à bien tasser. Puis le frère dit : le dîner est près si vous voulez, moi je mange, il ressortit de mon cul, et me dit attend tu va mettre ça, et il me donne un plug d'un assez gros diamètre, que j'eu du mal à le mettre, puis enfila le jeans et nous voilà à table.

   img2.gif   Où tu la trouvée cette bonne pute ?

Dans mon Bus, il s'était endormi à l'arrière et je l'ai réveillé avant de terminer ma journée, je devais le ramener chez lui, mais il n'à pas dit non pour me suivre.

Bon petit, tu as passé un bon après midi, tu vas finir la soirée aussi bon, mais avec deux, ça te dit !

Pas le temps de dire oui, que l'autre répond avant moi, bien sûr et même jusqu à lundi, on à prévu pour.

Je dis, je suis une bonne pute oui, mais j'ai mon mot à dire.

En cœur, et réplique,  dit ce que tu veux, mais ici tu n'as pas la parole, si on veut te niquer alors on te nique, compris !

Je n'avais qu à me taire, ça j avais bien compris.

A la fin du repas, ils dirent : Bon c'est l'heure de jouer, ils m'emmenèrent vers une chambre, ça sera ta chambre entre nous deux, et quand on voudra, on viendra, pour que tu nous pompe ou qu'on t encule, alors ça toujours près, là fou toi à poil, nous on va se changer, et ils repartirent, et moi, le plug toujours dans le cul, je me mis à poil, et attendis un moment leur venu.

Il rentrèrent, fringue bien hardos, harnachés avec chaps, gants en cuirs, cocking, qui leurs faisaient bien bander leur bites et les tiags bouts pointus et talons bizotés.

Mon motard se plaça devant moi, me dit : à quatre pattes sur le lit et pompe moi bien! ce que je fis, son frère se mît derrière moi, enleva le plug, et aussitôt il me défonça le cul ; le pied.

Mais au bout d'un moment, ce n  est pas assez pour eux, et mon motard se fout sur le lit bite à l air, et me dit : empale toi dessus avec le plug ton trou doit être assez dilaté, pour recevoir nos deux bites en même temps, donc, avec un peu d appréhension je m'empala sur sa queue et son frère commença à me pénétrer, pour la première fois doucement, je fus surpris par sa douceur, et par le fait que cette double pénétration fut aussi facile, le pied je vous assure, mon motard me dit maintenant : c est à toi de travailler, donc, je pris le relais, doucement au départ, mais ce ne fus pas longtemps, pour prendre le bon rythme pour nous donner à tous trois un plaisir d enfer, au oui c est bon, quel pied… le genre de petite phrase qui donne envie de plus, en j en voulais encore plus, je voulais leurs jus aux deux, alors j eu leurs jus en accélérant le rythme, et ils crièrent de plaisir quand ils ont déchargé dans mon cul, personnellement, je n étais pas rassasiés et je voulais encore plus.Ils me le donnèrent tous les deux.

Quand ils m'emmenèrent au grenier, ou il y avait un sling, je fus fisté par les deux et je reçus encore leurs jus, ils étaient bien crevés mais un des deux me pompa pour me vider.

Ce fut que la première journée, mais quel pied.

Bien je n'avais pas eu de bol, j'avais loupé mon arrêt de bus.

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                  Damien

 

02h15 du mat, je reviens de Paris. J'avais rencard dans un bar avec un mec rencontré sur le réseau. Le mec n'étais pas motard mais fantasmait grave sur tout ce qui était mâle en cuir. La rencontre a tournée court, car le mec ne correspondait pas à sa description. Encore un qui se la joue top model et qui n'assume pas du tout son physique. Cóté look, il m'annonce qu'il est en 501 destroy et blouson de cuir, alors qu'en réalité c'est tout le contraire. Ca m'a vite calmé. Aprês avoir pris un pot, je lui dit que de mon cóté, ça ne me branche pas. Il est déçu car il s'imaginait qu'il allait pouvoir prendre son pied avec un mâle en cuir. Mais je ne trique pas sur commande...

La nuit est calme et douce. Cambré sur mon ZX 9R, je me sens quand même hyper excité dans mon cuir à l'idée d'avoir fais bander un mec ce soir.

Sur la route, je vois au loin dans mon rétro un phare qui se rapproche à vive allure... Une moto ? un motard ? Je fais le nécessaire pour me manger le prochain feu rouge, histoire que l'autre bécane me rattrape et que l'on soit cóte à cóte. Je crois que j'ai bien fait : C'est un CBR 900 qui se cale à mon niveau. Le pilote est en combine cuir intégrale, modêle Dainese techno noire et rouge. Plaqué derriêre lui, une ou un passager (je ne sais pas encore), également en cuir (fut et blouson coupe sport, bien moulé).

Je les mate et observe que le passager à ses mains posées sur le pacson de cuir du pilote. Visiblement il est entrain de le chauffer. Je relêve ma visiêre, leurs fais un petit signe de la tête et place une de mes mains au creux de ma cuisse. Le pilote me répond par un petit signe de sympathie. Le feu passe au vert. Je démarre et les retrouve au feu suivant: Ce coup-ci, le CBR se place vraiment juste à cóté de moi, et je flashe à mort lorsque je vois le passager, bite raide à l'air, plaquée contre le cul de cuir du motard. Le passager est donc un mec ! Hyper bonne pioche ! Il continue à branler plus énergiquement le sexe de cuir du pilote qui à l'air d'apprécier. Ce dernier en profite pour poser sa main droite sur ma cuisse et remonte jusqu'à mon sexe.

Il me regarde, constate que moi aussi je trique et me dit simplement: "ça te branche ?".

Je réponds: "Pas de problême". Je les suis.

                                                                

Arrivés dans leur box, on gare les bécanes. Les 2 mecs viennent vers moi, toujours casqués. Le pilote se place devant moi tandis que son passager se met derriêre moi. Ils me prennent en sandwich et commencent à s'exciter comme des malades. Ils palpent mon cuir, se plaquent contre moi et je sens leurs tiges de cuir bien raides se frotter contre moi. On entend uniquement le crissement du cuir... L'ambiance est chaude et sexuelle, comme j'aime. Le mec derriêre moi s'empare de mon pacson de cuir et se met à me masturber avec ses gants. Le pilote serre mon cul de cuir colle son sexe au niveau du mien, sur la main de son pote qui me branle. Le tableau est d'enfer : 3 mâles en cuir intégral entrain de se faire raidir la pine sous leurs fringues de motard.

Aprês 5 bonnes minutes d'excitation, ils décident d'enlever les casques... et c'est 2 jeunes mecs que je découvre, avec de bonnes petites gueules bien viriles d'allumeurs. Ils se présentent: le pilote est un beur et s'appelle Karim. Il est trop canon: métis, crâne rasé, yeux marrons. Son passager s'appelle Maximilien, mais il préfêre Max et c'est également un super beau mec. Ils ont tous les deux le même délire: baiser du cuir de motard. Ils vivent ensemble depuis 3 ans et ne baisent qu'en cuir moto, à deux ou à plus. On échange quelques mots et j'apprends que Karim joue dans la catégorie "tringleur en combine" alors que Max à la réputation d'être un super branleur et suceur de motard. Il n'a pas son permis moto et se contente uniquement d'être le passager de Karim: Il prend son pied à être collé à lui, à le sentir bander, à l'exciter lorsqu'ils roulent ensemble. Il aime aussi se faire bourrer par du mâle motard cuir. Putain, ça promet...

Karim passe à l'attaque: il pose une main sur mon sexe et passe son autre main autour de mon coup. Il se jette sur ma bouche et y engouffre sa langue. Je me colle à lui et ne résiste pas. On se fouille mutuellement nos bouches en y mettant de la passion. Il est bouillonnant. Max est derriêre moi, il me prend par la taille, me lêche mon coup et je le sens triquer sur mon cul de cuir. Il donne des petits coups de rein, comme s'il voulait me pénétrer. Je le sens dégager sa teub de son fut pour venir la placer entre mes cuisses. Je resserre mes jambes, et son sexe en érection y est coincé. Il peut maintenant se branler entre mes jambes de cuir et ne s'en prive pas. Il continue toujours à me lécher le coup en gémissant de plaisir. Moi, je suis toujours dans la bouche de Karim. Mes mains se baladent sur toute sa combinaison qui le moule à la perfection et je sens, en tâtant ses pecs et ses abdos sous son cuir que ce mec est musclé. Ma main descend tout naturellement sur ses attributs de mâle.

Sa bite, plaquée entre son bas ventre et sa combi est visiblement imposante. Le relief de son cuir le prouve. Du bout de mes doigts gantés, je saisi l'extrémité de son sexe, et exerce des petites pressions sur son gland de cuir. Il m'aide à le branler en bougeant son bas-ventre et son sexe ne cesse de grossir.

Max se retire de mes cuisses et se place à cóté de moi. Je vois ce mâle bardé de cuir, avec sa belle grosse queue luisante qui sort de son fut. Il me regarde et se met à se palucher énergiquement avec ses gants. Il se colle sur Karim et lui roule une série de pelles. Sa pine en érection vient se frotter contre la jambe de Karim. Max se met à genoux, entre Karim et moi et commence à lécher mon pacson de cuir en y laissant de la salive. Mon cuir noir devient luisant. Il mordille ma tige avec acharnement et se tourne vers Karim pour en faire autant. Visiblement, il veut de la bite. Il ouvre mon fut et libêre mon sexe. Il se jette dessus et me commence à me pomper furieusement.

J'en profite pour faire descendre le zip de la combine à Karim à mi ventre. Je découvre un keum sculpté dans l'acier. Je pose ma bouche sur ses tétons: ils sont durs et chauds. Je lêche, j'aspire et je donne des petits coups de dents sur les seins de Karim. Il n'en peut plus et ouvre son cuir jusqu'en bas pour y dégager une matraque énorme. Son sexe est complêtement rasé, de couleur brune: un véritable objet de plaisir. Il prend sa bite dans son gant, et se branle comme un malade, tout en s'occupant de ma bouche et de ma langue. Max, toujours à genoux, se retourne et change de bite. Il se jette sur la queue de Karim et l'aspire du mieux qu'il le peut. Je me positionne sur les épaules de Max, et me branle contre la tête de ce "serial pompeur". Je vois Karim en pleine extase et ne peut m'empêcher de lui caresser son bas ventre musclé avec mes gants. Il est bouillant , son corps est marbré et lisse. Il commence à transpirer sous son cuir de motard. Max se retire de Karim et nous fait comprendre qu'il n'a pas assez d'une bite, qu'il aimerait bien en pomper deux. Aussitót, on s'exécute !

Et Max passe allêgrement d'un dard à l'autre. Il nous rapproche pour pouvoir aspirer nos deux glands en même temps, et le fait comme un pro. Sa main empoigne nos 2 tiges et sa langue tourne autour de nos glands en salivant un maximum. Il essayer d'enfourner les 2 bites, mais n'y arrive pas. Karim retire son sexe car il est sur le point de gicler, et il n'en a pas envie: il veut encore faire monter son excitation au plus haut point avant de se vider. Au même moment, on entend du bruit dans le parking. Vite fait, on rentre nos sexe dans nos cuirs respectifs et on fait style de discuter. Karim propose qu'on aille continuer chez eux, histoire de pouvoir se lâcher totalement. Je suis complêtement OK. On monte. Arrivés dans l'appart, ils me font signe de les suivre dans leur chambre. Les murs sont recouverts de photos de motards en cuir. Les photos ne sont pas hard mais plutót sensuelles: des mecs a poil, combi ouverte jusqu'au bas ventre, des gros plans de sexes moulés dans des cuirs, rien que des images excitantes: Mais j'ai ce qu'il me faut en face de moi: 2 canons, raides dingues de motards, de cuir et de sexe.

Karim dispose sur le lit tout un tas de fringues de motard: une combine intégrale bien destroy, 2 futs et 3 blousons de cuir. Il aime baiser dans un univers totalement motard. Il veut jouir dans le bruit et l'odeur du cuir. Il me pousse sur le lit et rue sur mon paquet de cuir. Il le lêche, le mord tendrement. Max le rejoint et s'occupe de mes couilles: Il les masse à travers mon fut de cuir chaud. Karim ouvre mon zip, sort ma bite et me taille une pipe, bien lente, avec un maximum de sensualité. Max le suit. J'ai sur ma pine 2 mâles en cuir qui me pompent comme des Dieux. De temps en temps, ils stoppent pour se rouler des pelles. Je suis sur le dos, allongé sur un lit de fringues en cuir et Karim prend la position du 69. Il est toujours en combine. Pendant qu'il me suce et que Max s'occupe de mes burnes, j'ai le sexe de cuir de Karim en totale érection sur mon visage. J'en peux plus ! Je le saisi par la taille, m'imprêgne de l'odeur de son cuir, lui donne des coups de langue sur son pacson, je lui masse son petit cul de cuir moulé dans sa combine. J'arrive à lui ouvrir son zip et sort sa pine. Je suis impressionné par la taille de son braquemart mais n'hésite pas l'enfourner. Son sexe est chaud et puissant. Je m'éclate sur son chibre, le lêche, lui tête le gland; il ondule son ventre pour que j'aille au plus profond de lui. J'aspire ses couilles rasées, bien pleines. Ma vision est exceptionnelle: J'ai le visage DANS la combine cuir d'un mâle motard: Ca sent un maximum le sperme. Je peux coller ma gueule sur l'abdomen musclé et bouillant d'un super mec à la queue d'acier qui est entrain de me faire la plus chaude des fellations. L'odeur de cuir, de mec et de foutre est omniprésente. Max se détache de mes couilles qu'il a abondement enduit de sa salive. Il relêve la tête de Karim qui est toujours scotché sur ma bite et lui demande qu'il le prenne, car visiblement, il ne peux plus attendre.

On change de position: Karim s'absente durant un cours moment pour aller se laver la queue dans la salle de bains. Il revient et trouve Max allongé à ma place, sur le dos, cuisses écartées, la rondelle bien ouverte. Il a viré son fut et gardé son blouson. La vue de Karim, le torse en sueur sous son cuir ouvert, la pine en totale érection, ne me fait pas débander d'un millimêtre. Il me regarde et me dit que Max est le seul mec qu'il défonce sans capote. Ca fait longtemps qu'ils sont ensemble, ils vivent ensemble et se font confiance.

Karim s'agenouille sur le lit, introduit lentement son index dans l'anus de Max et de l'autre main fait raidir son sexe à son plus haut point. Max se trémousse. Je me saisi du fut de cuir de Max et me branle dessus. Karim crache dans sa main et enduit son sexe d'une épaisse couche de salive, histoire de bien lubrifier son piston. Je me mets au premier rang car je ne veux rien rater de ce spectacle. Karim commence la pénétration. Son gland, puis tout son sexe s'engouffre lentement dans Max. Ce dernier a visiblement l'habitude de se manger intégralement le sexe de son pote. Il gémit de plaisir. Plus la pine de Karim s'introduit, plus le sexe de Max se raidit. Karim est maintenant en butée. Il est planté au plus profond de son partenaire. Il ne bouge plus, et effectue quelques déhanchement pour gagner quelques millimêtres de plus, puis il entame un va et vient lascif, tendre et langoureux.

De temps en temps, il accélêre ses allées et venues pour atteindre un rythme infernal afin d'exploser le cul de son pote, puis il revient sur un tempo plus cool. Il ne baise pas son pote: il lui fait l'amour. Putain, c'est trop jouissif d'assister à l'accouplement de 2 mâles motards en cuir. Karim me demande de sucer Max pendant qu'il l'encule. Je me jette sur la teub et le pompe profondément. J'ai dans ma bouche la queue d'un mec qui se fait bourrer par un canon en cuir et la vue m'offre le spectacle d'une force rare: Une grosse pine échappée d'une combinaison intégrale qui lime un petit cul de mec en manque de bite. Max gémit de plus en plus fort et me prends par la taille pour que l'on se fasse un 69. Je m'exécute et à peine en position, je sens ma gaule aspirée par une bouche bien chaude. Mes cuisses de cuir se resserrent sur sa tête et je lui inflige des coup de rein pour qu'il puisse me recevoir au plus profond de sa gorge. Max est sous l'emprise de 2 pistons: un qui lui bourre le cul et l'autre qui lui ramone la gueule.

Karim en pleine défonce maintient ma tête sur la pine de Max. J'arrive à me libérer, prend Karim par la taille et me rue sur son abdomen bouillant pour lui lécher sa sueur. Le cuir de sa combinaison est chaud et tendre. Je l'entend gémir un maximum... il doit être sur le point de jouir. Il doit avoir pour habitude de cracher son sperme dans le ventre de son pote. Ca doit être le genre de mec qui aime baiser en cuir jusqu'au bout de la jouissance: larguer la purée de motard cuir dans le mec avec lequel on vit, ça doit être un trip impressionnant. Mais, apparemment, Karim veut me faire profiter de la puissance de son éjaculation: Il se retire de Max, m'adosse sur le lit et me place à coté de Max. Il est à genoux, entre nous et aprês avoir remis ses gants de cuir, il repart dans une masturbation finale, sa bite au niveau de nos têtes. Il va être le premier à gicler: Il pousse un râle monumental et expulse un véritable geyser de foutre qui vient retomber sur nos deux gueules. J'ai jamais vu autant de sperme jaillir d'une queue. Il crache des jets par saccade plus puissants les uns que les autres. Son bas ventre est pris de soubresaut pour larguer les derniêres giclées de sa semence de mâle.

A peine finit, Il se jette sur le visage de Max pour lui nettoyer sa gueule et ensuite c'est à deux qu'ils viennent sur moi, pour également me lécher le visage. Leurs langues chaudes récupêrent le foutre tiêde de Karim. Ils se roulent des pelles, se fouillent la bouche sur ma gueule. Je fais signe que je suis aussi sur le point de passer à l'éjaculation. Ma bite et mes couilles sorties de mon fut de cuir ne demandent qu'a se vider. Karim s'allonge sur le dos, ouvre largement sa combinaison pour que l'on puisse se finir sur lui.

J'installe mon cul de cuir sur la pine en semi érection de Karim, tandis que Max s'installe sur sa gueule. Je vois Karim gober les burnes de son pote ce qui a pour effet de faire jouir Max immédiatement. Je sens la teub de Karim recommencer à bander et buter contre mon cul de cuir. Ca me fait direct éjaculer. C'est un déluge de sperme qui vient inonder le torse et le ventre de Karim. Il est complêtement recouvert de foutre. Nos jus viennent se mélanger à la sueur de Karim. On est complêtement vidé. A peine nos jouissances terminées, Karim remonte totalement le Zip de sa combinaison et se masse le torse et le ventre, comme s'il voulait que son cuir s'imprêgne de nos semences. On participe activement a ce massage: Nos mains palpent le cuir tendre de Karim et nous finissons par nous endormir, tous les 3, cóte a cóte.

Pendant le reste de la nuit, je fus sorti de mon sommeil par une gaule d'enfer provoquée par Karim qui n'avait pas pu s'empêcher de me branler à travers mon fut de cuir. Allongé contre lui, j'ai sorti ma queue et me suis paluché jusqu'à jouir sur sa combinaison. Il a étalé mon sperme sur son cuir, a ouvert sa combine pour y sortir sa bite. Il l'a placée dans mon zip qui était ouvert et s'est branlé dans mon fut de cuir, contre ma pine. J'ai senti son foutre se répandre sur mon sexe et couler le long de mes cuisses. Aprês cette autre jouissance, nous sommes repartis dans nos sommeils respectifs.

Au petit matin, Max qui s'était blotti contre les fringues de cuir dispersées sur le lit, à voulu que je le saute. Il voulait garder un souvenir de cette nuit d'enfer. J'ai accepté à condition que Karim lui aussi me prenne: Je voulais moi aussi sentir en moi le chibre de ce mec qu'on ne croise que dans des fantasmes de motards. Et je n'ai pas été déçu. Putain ! quel tringleur ! Jamais je n'ai été baisé avec autant de force, de fougue, par un jeune mâle nikeur de motards. J'aurais bien gardé sa trique chaude des heures au fond de moi tellement il baisait comme un pro hardeur.

La baise a durée un bon moment: On est reparti dans de la bonne branle, dans des séries de pelles, de pipes torrides et dans des enculades de motards cuir inimaginables, mais la fatigue de la nuit a repris le dessus et notre fougue était beaucoup moins coriace, mais toujours aussi sexuelle. On a giclé sur les cuirs qui étaient sur le lit. Du coup, nos couilles étaient complêtement vidées: plus une goutte de foutre dans nos cuves. Karim, avant que je parte, m'a montré l'intérieur de sa combinaison: Elle était maculée de sperme et il m'avoua qu'a chaque baise avec d'autres mecs, il aimait sentir contre son corps l'odeur du foutre mélangée a celle des cuirs des mâles motards qui lui avait fait passer des nuits viriles de sexe en baise cuir. C'était pour lui une sorte de trophée.

On ne s'est pas revu, mais je ne désespêre pas les recroiser, une de ces nuits. Peut-être que cette fois, nous serons quatre...

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